Participation basée sur le cliché
La participation basée sur le clicker est principalement l'utilisation de gadgets électroniques, par exemple, communément appelés clickers, pour le vote de l'auditoire en classe. Cette méthode est un outil qui permet de promouvoir l'engagement direct des étudiants, de recevoir un retour d'information instantané et de créer un apprentissage actif grâce aux diverses questions posées par l'instructeur.
Le grand avantage du déploiement de clickers pour les évaluations formatives dans une classe est que les enseignants peuvent obtenir un retour direct sur la compréhension des étudiants et être en mesure de modifier immédiatement leur façon d'enseigner. Par exemple, lorsque la plupart des élèves donnent une mauvaise réponse à une question, l'enseignant insiste à nouveau sur le sujet afin que tous les objectifs d'apprentissage nécessaires soient maîtrisés avant de poursuivre.
Bien entendu, le risque de problèmes techniques, la nécessité absolue pour tous les étudiants de disposer d'un clicker ou d'un appareil compatible, et l'obligation pour les instructeurs de concevoir les bonnes questions sont les principaux défis liés à l'utilisation de cette approche. En outre, quelques étudiants peuvent être un peu réticents à participer au cours, ce qui peut en réduire considérablement l'efficacité.
Les clickers peuvent être utilisés avec différentes méthodes d'enseignement, comme l'écoute d'un cours magistral, une discussion de groupe et une classe inversée, tout aussi facilement qu'avec une participation basée sur l'apprentissage. Un exemple concret serait celui d'un conférencier qui utiliserait les clickers pour recueillir des réponses initiales au cours d'un cours magistral et qui répartirait ensuite les étudiants en groupes pour discuter de leurs réponses, ce qui favoriserait le processus d'apprentissage collaboratif.
Comment les clickers améliorent-ils l'engagement des élèves en classe ?
Les clickers favorisent l'implication des étudiants grâce à leur capacité à leur permettre de donner activement leur avis lors des discussions et de répondre discrètement aux questions lors des cours magistraux. Par exemple, les enseignants peuvent poser des questions à choix multiples et visualiser rapidement les réponses, ce qui, par ailleurs, incitera tous les étudiants à participer à la discussion sans craindre de se tromper.